• Ministère des Affaires Etrangères, COTE D'IVOIRE

3ème Forum Économique Public-Privé Japon-Afrique.

ZOOM SUR LA COTE D'IVOIRE

Constra

PERFORMANCE DE L’ECONOMIE IVOIRIENNE Les raisons qui motivent à investir en Côte d’Ivoire sont nombreuses : - Les secteurs d'investissement industriel concernent l’agro-industrie, comprenant les filières café-cacao dont la Côte d'Ivoire reste le premier producteur mondial de cacao, avec une production record en 2024 et des prix d'achat atteignant 1 800 FCFA/kg. Le café, avec un prix d'achat en hausse, offre également des opportunités de transformation locale et d’exportation. - - Le pays est le premier exportateur mondial de noix de cajou, avec une production estimée à 1,25 million de tonnes en 2025. La transformation locale est en pleine progression, offrant des opportunités pour les investisseurs, ainsi que le secteur des fruits et légumes. La transformation des fruits comme l'ananas, la mangue et la banane dessert est un secteur en croissance, avec un potentiel d'exportation et de substitution des importations. - Les énergies et hydrocarbures, à travers le pétrole et le gaz, offrent des perspectives attractives depuis la découverte de nouveaux gisements comme "Baleine" et "Calao" qui renforce la position de la Côte d'Ivoire comme producteur d'énergie en Afrique de l'Ouest.
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- La production devrait atteindre 250 000 barils par jour d'ici à 2027, offrant des opportunités dans l'exploitation et la transformation. Quant aux énergies renouvelables, le gouvernement vise à porter la part des énergies renouvelables à 45 % du mix énergétique d'ici à 2030, avec des projets solaires et éoliens en cours.
- En plus, on note le boom des mines et ressources naturelles. Deux gisements majeurs d'or ont été découverts en 2024, dont le projet Koné, qui devrait entrer en production en 2027. Ces découvertes renforcent le potentiel minier du pays.
- La découverte de gisements de coltan et autres minerais ouvrent également de nouvelles perspectives pour l'industrie minière ivoirienne. - Les infrastructures et constructions englobent les infrastructures routières et urbaines. Plus de 3 000 milliards de FCFA ont été investis dans les infrastructures routières, avec des projets majeurs comme l'échangeur de Koumassi et le carrefour Akwaba. Ces projets stimulent la demande en matériaux de construction. - Une zone industrielle de 1 000 hectares, à partir du projet PK24, attire déjà des investissements dans l'agro-industrie, la métallurgie et les produits pharmaceutiques. La demande croissante en produits pharmaceutiques, avec une augmentation des importations de 3 % par an, offre des opportunités pour la production locale de médicaments génériques et non génériques. Tout comme le domaine du textile et habillement, le coton, bien que sous-exploités en termes de transformation, ils présentent un potentiel important pour l'industrie textile, avec des infrastructures en développement pour soutenir ce secteur.
- La Côte d'Ivoire est un hub logistique clé en Afrique de l'Ouest. Les investissements dans les zones industrielles comme ZIC, renforcent cette position. Le pays dispose de deux ports maritimes modernes à Abidjan et San Pedro, ainsi qu'un réseau routier développé sur son étendue.
- L’économie verte et environnement sont deux aspects également prioritaires du gouvernement. Les autorités ivoiriennes visent à promouvoir l'économie verte, avec des projets de restauration des forêts et des investissements dans des pratiques agricoles durables.
- Le secteur du Tourisme et de l’hôtellerie, en pleine croissance, offre un potentiel important, notamment avec des infrastructures en cours de modernisation et un marché régional de 340 millions d’habitants. - La construction de la "Cité de l'Innovation et de la Culture" en 2025, dans l’objectif de promouvoir les start-ups et les technologies de pointe, offre des opportunités dans les secteurs numériques et créatifs.
- Au regard de ce qui précède, les secteurs agro-industriels, énergétiques, miniers et des infrastructures sont les plus prometteurs pour les investissements industriels en Côte d'Ivoire en 2025. Ces secteurs bénéficient d'un soutien gouvernemental fort, d'une demande croissante et d'un potentiel d'exportation significatif.


v   EXPORTATIONS ET OPPORTUNITES D’INVESTISSEMENT

PRODUITS PHARES DES EXPORTATIONS IVOIRIENNES :
• Agriculture et industrielle et d’exportation (49% des exportations) : cacao, café, noix de cajou, caoutchouc, banane, ananas, graine de coton, coton masse, caoutchouc naturel, noix de coco…
• Produits de première transformation (18,2% des exportations) : amandes de cajou, huile de palme, huiles essentielles, cacao transformé, bois…
• Produits miniers (15,8% des exportations) : Or brut, pétrole brut, diamant, manganèse, phosphate,…
• Produits manufacturés (13,7% des exportations) : produits dérivés du pétrole, matériaux, appareils mécaniques et électriques,…
• Conserves et préparation alimentaire (1,3% des exportations) : huile de palme, conserve de thon, lait et produits de la laiterie, sucre,…
• Agriculture, élevage et pêche (0,4% des exportations) : céréales, crustacés, poissons, viandes, légumes et tubercules alimentaires… 

v   OPPORTUNITES D’INVESTISSEMENT

Avec le plan National de Développement adopté pour la période 2021-2025 (PND21-25), la Côte d’Ivoire a décidé la transformation structurelle de son économie par l’industrialisation selon sept (7) axes prioritaires : • Agro-industrie ; • Chimie-plasturgie ; • Matériaux de construction ; • Pharmacie ; • Industrie textile ; • Emballage ; • Pièces de rechange automobile. Il faut ajouter à cela d’autres secteurs créateurs de richesses ou des niches de croissance à explorer : • L’économie numérique ; • L’industrie du tourisme et des loisirs ; • Les industries créatives.

v ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES

Le Gouvernement ivoirien a plusieurs réformes structurelles et règlementaires pour assurer l’environnement des affaires.  Sécurisation des affaires • Création de tribunaux et de cours d’appel de commerce ; • Traitement spécialisé des litiges commerciaux avec des délais courts ; • Protection des droits actionnaires minoritaires ; • Recours à la conciliation par toute voie.  Simplification des procédures • Dématérialisation des actes et services administratifs ; • Création du Guichet Unique du Permis Construire (GUPC) et du Guichet Unique de l’Investissement (GUI) dont le rôle est de centraliser et faciliter toutes les formalités liées à l’installation de l’investisseur (code des investissements, accès aux terrains industriels, création d’entreprise en 24H…) ; • Octroi des avantages du code des investissements en 21 jours.  Octroi d’avantages fiscaux • Adoption d’un nouveau code des investissements en 2018 axés sur les secteurs porteurs avec un accent particulier mis sur la promotion des PME-PMI ; • Adoption de codes sectoriels (miniers, électricité, pétrolier, forestier, etc…) pour faciliter l’installation des investisseurs dans ces secteurs ; • Création d’un Port franc halieutique et du Villages des Technologies de l’Information et de la Biotechnologie (VITIB) qui est zone franche.  Adoption d’un cadre institutionnel transparent • Création du Comité national de pilotage des Partenariats Public-Privé (CNP-PPP) ; • Mise en place de la Haute autorité pour la bonne gouvernance ; • Création de l’Autorité Nationale de Régulation des Marchés Publics (ANRMP), chargé de faciliter les procédures pour permettre l’accès des PME à la commande publique.  En bref, les avantages du nouveau code des investissements • Octroi d’avantages fiscaux et douaniers aux entreprises de tous les secteurs à l’exception des bâtiment à usage non industriel, du commerce, des activités bancaires et financière et des professions libérales ; • Avantages concédés en phase d’investissement (exonérations douanières et suspension de TVA) et en phase d’exploitation (crédits d’impôts ou vacances fiscales) ; • Avantages différenciés selon la région de réalisation de l’investissement (Zone A, B et C) ; • Valorisation du contenu local ; • Mesures spéciales pour les PME et les projets structurants.

Nom officiel : REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE
Nature du régime : PRESIDENTIEL,
Chef de l’Etat : ALASSANE OUATTARA
Chef du gouvernement : BEUGRE MAMBE

Superficie : 322.462 km²
Capitale : ABIDJAN (capital économique), YAMOUSSOUKRO (capital politique),
Villes principales : Abidjan, Bouaké, San Pedro, Gagnoa, Korhogo, Daloa, Yamoussoukro
Langue (s) officielle (s) : Français,
Monnaie : FRANC CFA BCEAO (XOF),
Fête nationale : 07 aout 1960

Population : 29.389.150 HABITANTS (RGPH 2021)
Densité : 74,5 habitants/km² (Banque mondiale, 2016)
Croissance démographique : 2,6 % (Banque mondiale, 2018)
Espérance de vie : 57 ans (Banque mondiale, 2017)
Taux d’alphabétisation : 47 % (Banque mondiale, 2018)
Religion (s) : islam : 42 %, christianisme : 34 %, animisme : 4 %, sans religion : 19 %, autres religions : 1 % (Institut national de la statistique de Côte d’Ivoire, 2014)
Indice de développement humain : 170e/ 189 pays (PNUD, 2018)

La Côte d’Ivoire, qui dispose de solides atouts économiques, est une puissance régionale. Elle possède des infrastructures héritées des deux décennies du « miracle ivoirien » (1960-1980) : 2e port d’Afrique subsaharienne, important réseau routier, aéroport international récemment agrandi. Dans le secteur agricole le pays est le 1er producteur de cacao au monde avec plus de 40 % du marché. Il figure aux premiers rangs africains pour plusieurs autres productions agricoles d’exportation (caoutchouc, noix de cajou, coton, café, palmier à huile, banane, ananas, cola). Le secteur secondaire est dominé par le raffinage de pétrole brut, le BTP et la transformation agroalimentaire. Le secteur tertiaire (47 % du PIB) est fortement dominé par les activités bancaires, les transports, la distribution ainsi que les technologies de l’information et de la communication (TIC), dont la téléphonie mobile (5 opérateurs). Le pays assure son autosuffisance énergétique grâce à l’exploitation depuis quelques années de gisements de gaz et de pétrole qui lui ont permis d’exporter de l’électricité et des produits pétroliers dans la sous-région. Après une croissance économique de 8 % par an entre 2012 et 2019, celle-ci s’est établie à 2,3 % en 2020 malgré le contexte sanitaire mondial et ses conséquences économiques (contre 6,7 % initialement prévue par le FMI). La résilience de l’économie ivoirienne s’explique en partie par la diversification relative de son tissu productif, la stabilité monétaire que lui confère son appartenance à l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), et l’importance du soutien des partenaires techniques et financiers. Par ailleurs, dans le cadre de la réponse à la COVID-19, le gouvernement a adopté un plan de soutien économique et social. Un rebond économique est attendu dès 2021, avec un taux de croissance projeté autour de 6 % par le FMI. Le programme national de développement (PND) pour la période 2021-2025 prévoit de grandes réformes structurelles visant à stimuler une croissance soutenue, tirée notamment par le secteur privé. La Côte d’Ivoire doit encore relever de nombreux défis, notamment dans le domaine de la lutte contre la corruption et de l’amélioration de l’environnement des affaires, afin de retrouver pleinement son statut de moteur de la croissance économique régionale. Une meilleure redistribution de la croissance est également nécessaire pour l’amélioration durable des indices de développement

Secteurs porteurs de croissance

Le secteur primaire concerne les ressources naturelles, le secondaire l'industrie et la construction, le tertiaire les services marchands et non marchands. Un quatrième secteur, ajouté plus récemment, concerne les activités liées au numérique et à l'innovation.

Capital Teltway Building

Commercial, Interiors

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AGRICULTURE

AGRICULTURE

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RESSOURCES ANIMALES ET HALIEUTIQUES

RESSOURCES ANIMALES ET HALIEUTIQUES

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MINES

MINES

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INDUSTRIE

INDUSTRIE

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HYDROCARBURES

HYDROCARBURES

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ENERGIE

ENERGIE

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TRANSPORT

TRANSPORT

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ECONOMIE NUMERIQUE

ECONOMIE NUMERIQUE

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TOURISME ET LOISIRS

TOURISME ET LOISIRS

LA DIPLOMATIE ECONOMIQUE

Contexte et création

Constra Le Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, pose comme postulat de son action à la tête de l´Etat, son ambition de « faire de la Cote d´Ivoire, un pays émergent à l´horizon 2020 ».
Plus qu´une profession de foi ou un slogan politique, il s´agit d´un engagement moral pris pour devant le peuple par la plus haute autorité de l´Etat.
L´intérêt de cet engagement du Président de la République pour la Diplomatie ivoirienne, réside dans la contribution possible de celle-ci à l´atteinte de l´objectif de pays émergent à l´horizon 2020.
De quelle manière? La réponse est donnée par la Président de la République lui-même. En effet, dans son adresse au corps diplomatique accrédité en Côte d´Ivoire, réuni au Palais présidentielle le 22 décembre 2012, il a affirmé sa volonté de faire de la « diplomatie économique » une priorité.

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DIRECTION GENERALE DE LA DIPLOMATIE ECONOMIQUE (DGDE)

Mot du DGDE

Constra

Chers collaborateurs et amis internautes, Je vous souhaite la bienvenue sur la plateforme d’échanges de la Direction Générale de la Diplomatie Economique (DGDE) du Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur (MAEIAIE).

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Avant tout propos, j’aimerais indiquer qu’au sens large, « la diplomatie économique peut être définie comme toute activité diplomatique qui promeut les intérêts économiques de l’État. Elle comprend également la diplomatie qui utilise les ressources économiques pour atteindre un objectif spécifique de politique étrangère ». Ainsi, je peux affirmer que la diplomatie économique n’est pas nouveau concept en Côte d’Ivoire. Elle a pris une place prépondérante depuis novembre 2012, quand le Président de la République, S.E.M Alassane Ouattara affirmait, avoir fait « [..] le choix de l’Eco-Diplomatie pour mobiliser les ressources financières de nos partenaires en faveur du développement économique et de la création de richesses en Côte d’Ivoire ». Le Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur s’est donc réorganisé en créant, entre autres, une Direction Générale de la Diplomatie Economique pour répondre à l’appel du Chef de l’Etat. Conformément au décret n° 2023-961 du 06 décembre 2023 portant organisation du Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, la Direction Générale de la Diplomatie Economique a pour missions principales entre autres, de : - Coordonner et suivre les actions de coopération économique, commerciale, scientifique, technologique, environnementale, culturelle, touristiques, etc. en liaison avec les autres Directions Générales ; - Contribuer à définir des politiques relatives à l'attraction des investissements directs étrangers ; - Contribuer à mobiliser les financements extérieurs bilatéraux et multilatéraux au profit du développement de la Côte d’Ivoire ; - Renforcer la promotion des collectivités territoriales ou décentralisées à l'extérieur pour capter les investissements internationaux ; - Créer et animer un cadre permanent d'échanges avec les organisations professionnelles du secteur privé. C’est ainsi que, dès notre prise de fonction et afin d’assurer les missions sus-indiquées avec efficacité et efficience, un projet de plan stratégique quinquennal nous avons élaboré et doit être validé par l’ensemble des parties prenantes. Dans l’intervalle, nous avons mis en place un processus d’opérationnalisation de la DGDE sur la base d’objectifs Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste et Temporel (SMART). Dans ce processus, nous entendons instaurer un cadre permanent d’échanges avec l’ensemble des parties prenantes. La présente plateforme électronique est un des outils de ce cadre permanent d’échanges. Elle met à votre disposition les informations utiles et nécessaires pour les investissements et les exportations, et vous informe des activités et missions à caractère économique et commercial en Côte d’Ivoire et à l’Etranger. Elle sert aussi à vous guider vers les partenaires, Agences de développement et Directions de l’Administration Publique les plus pertinents pour vos besoins à travers des liens utiles qu’il contient. Nous souhaitons que cette plateforme soit interactive pour vous écouter et prendre en compte vos préoccupations. Vos remarques et suggestions nous sont précieuses pour effectuer les ajustements nécessaires à l’accomplissement de ses objectifs.

A propos de la DGDE

La DGDE n’a pas toujours existée sous sa dénomination actuelle. Elle a changé, au fil des années, de forme, de dénomination et de rattachement, pour aboutir à sa situation actuelle. D’abord, c’était une Division des Relations Économiques et des Institutions Spécialisées conformément au décret n° 64-51 du 14 janvier 1964 portant organisation du Ministère en charge des Affaires étrangères. Ensuite, elle changera successivement de forme et de statut à partir de 2001, avec la Direction des Relations Economiques Internationales et du Développement (DREID), créée par le décret n° 2001-24 du 10 janvier 2001 portant organisation du Ministère d’État, Ministère des Affaires Étrangères. En 2006, elle devient le Département des Relations Économiques Internationales (DREI) avec le décret n° 2006-110 du 07 juin 2006 portant organisation du MAE. A partir de 2011, elle est transformée par le décret n° 2011-387 du 16 novembre 2011 portant organisation du MEMAE en Direction de la Mondialisation et de l’Information Économique (DMIE). Puis, en 2014 avec le décret n° 2014-536 du 01 octobre 2014 portant organisation du MEMAE, elle prend la dénomination de Direction de la Mondialisation et des Relations Economiques Internationales (DMREI). Par la suite, elle devient : Direction de la Diplomatie Economique (DDE) par le décret n° 2018-236 du 28 février 2018. Enfin, suite au nouveau décret n°2022-987 du 21 décembre 2022 portant organisation du MEMEIAD, elle devient la Direction Générale de la Diplomatie Economique en abrégé DGDE. Vous trouverez en annexe l’organigramme de la DGDE.

Conformément au décret n° 2022-987 du 21 décembre 2022 portant organisation du Ministère d’Etat, Ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de Diaspora, la DGDE est chargée à cet effet :

- de coordonner et de suivre, en liaison avec les Directions Générales des Relations Multilatérales, Bilatérales, et des Affaires Juridiques, les actions de coopération avec les institutions multilatérales et bilatérales financière, commerciale, scientifique, médicale, technologique, environnementale, culturelle, sociale, sportive, artistique et touristique ;

- d’œuvrer au positionnement des entreprises ivoiriennes à l’extérieur ; - de contribuer à définir des politiques relatives à l’attractivité des investissements directs étrangers ;

- de rechercher et de négocier des partenariats multilatéraux et bilatéraux en faveur des entreprises privées et des collectivités décentralisées ;

- de créer et d’animer un cadre permanent d’échange avec les organisations professionnelles du secteur privé ;

- de renforcer la promotion des collectivités territoriales ou décentralisées à l’extérieur pour capter les investissements internationaux ;

- de recueillir, d’analyser et de communiquer des données et informations à caractère économique en relation avec les Ministères concernés et le secteur privé ;

- de contribuer à mobiliser les financements extérieurs bilatéraux et multilatéraux au profit du développement de la Côte d’Ivoire ;

- de rechercher et de négocier des formations et cadres de partage d’expériences de bonnes pratiques pour le renforcement des capacités des industries, PME et Startup ivoiriennes en relation avec les Ministères et structures concernés ;

- de rechercher et de mettre à la disposition de nos Représentations Diplomatiques un répertoire de toutes les administrations publiques, parapubliques, des sociétés d’Etat, des entreprises ivoiriennes et étrangères en Côte d’Ivoire.

Il faut souligner que la DGDE est dirigée par un Directeur Général nommé par décret pris en conseil des Ministres. Il a rang de Directeur Général d’Administration Centrale. La DGDE est composée de deux Directions à savoir la Direction de la Coopération Economique Sectorielle et la Direction de l’Intelligence Economique et du Suivi-Evaluation. Ces deux Directions sont dirigées par des Directeurs nommés par décret pris en conseil des Ministres et ont rang de Directeur d’Administration Centrale. Elles sont également composées de deux Sous-directions dirigées par des Sous-directeurs nommés par arrêté et ont rang de Sous-directeurs d’Administration Centrale. Ainsi, est organisée cette grande Direction où nous avons passé les trois mois de stage et avons eu le privilège d’être associé à l’exécution de plusieurs tâches.

Organigramme

Nos partenaires